PHOTOS – 30 danseurs Hip Hop de tous horizons ont battu le tempo lors d’un battle. Une journée de folie coorganisée par l’école de danse Cré-Scene 13 et le Musée d’art contemporain (Mac) de Marseille. De quoi clôturer en beauté 8 mois d’exposition sur l’âge d’or du Hip Hop entre 1970 et 1995. Retour en 20 photos marquantes sur ce joli moment.
Ces jeunes danseurs se sont affrontés dans un bon esprit devant de nombreux parents avec enfants en bas âges. Beaucoup de curieux sont aussi venus seuls ou entre amis – Crédit : Guillaume Legrand
Le défi est lancé, concentration ultime pour Samantha sur la scène underground du Mac – Crédit : Guillaume Legrand
Être à l’aise dans ses baskets et des pieds bien ancrés dans le sol, quelques unes des conditions pour être un bon danseur. Ici des mouvements de pieds dits aussi footworks tirés de la House ou du Top Rock, quelques uns des nombreux styles de danses en Hip Hop – Crédit : Guillaume Legrand
Un mouvement présent notamment dans le Locking ou encore dans le New Style en danse Hip Hop – Crédit : Guillaume Legrand
Le speaker appelle les danseurs un à un. Il est là aussi pour encourager les danseurs au micro et pour rappeler le déroulement du battle – Crédit : Guillaume Legrand
Chaque danseur dispose d’environ 30 à 45 secondes pour s’exprimer. Pour ce battle, un passage par danseur. Mais dans les battles individuels et en finale, ils ont généralement deux passages chacun – Crédit : Guillaume Legrand
Sans DJ Swing, pas de battle… Les danseurs ont pu s’exprimer sur un large choix de musiques, rythmes lents et rapides – Crédit : Guillaume Legrand
Deux équipes de deux danseurs se font face sur un programme libre, tout respectant les différents styles de danse Hip Hop – Crédit : Guillaume Legrand
Le public sait aussi montrer qu’il est bien présent. Il se fait régulièrement entendre en applaudissant les danseurs, relever leurs prouesses corporelles et figures insolites – Crédit : Guillaume Legrand
Le Hip Hop, c’est bien sûr le légendaire scratch initié dans les années 1970 dans les fêtes de quartiers new-yorkaises et dans les boîtes – Crédit : Guillaume Legrand
Chemisier large à carreaux bien présent dans la culture Hip Hop, cette danseuse ne résiste pas à l’envie de danser sur le beat. Sorte de préparation et d’échauffement avant d’entrée en scène – Crédit : Guillaume Legrand
Le Hip Hop, ce sont à l’origine quatre branches : le son, la danse, les graffitis et bien sûr le style. La casquette vissée sur la tête est un symbole de ce style – Crédit : Guillaume Legrand
Richard a forgé sa rigueur et sa technique depuis des années. Un talent qui lui vaut d’ailleurs souvent d’être appelé à l’étranger – Crédit : Guillaume Legrand
La journée a vite tourné en une énorme fête, une trentaine de participants ont concouru devant pas moins de 150 personnes – Crédit: Guillaume Legrand
Comme dans tout battle, il fallait bien un jury, mais on dit qu’il n’était pas trop sévère. Ils étaient trois comme le protocole l’oblige. Un nombre impair pour départager plus facilement les votes – Crédit : Guillaume Legrand
Style très Old School pour ce sosie d’Ice-T. Ce nom ne vous dit peut-être rien, mais Ice-T est un célèbre pionnier du Gangsta Rap, bien connu aussi pour ses nombreux rôles sur le petit et grand écran. Rapidement, le Gangsta Rap s’est épanoui en particulier sur la côte Ouest, avec des artistes comme Snoop Dogg, Tupac, Dr. Dre ou encore Ice Cube vers la fin des années 1980. Le Gangsta Rap raconte la vie de ces artistes dans la violence, la haine de la police sur fond d’affaires de drogues – Crédit : Guillaume Legrand
Richard prend une nouvelle fois la pose. C’est un spécialiste du Popping, un autre style de danse Hip Hop – Crédit : Guillaume Legrand
Exténué ? Oui, mais ce n’est pas grave, la fête continue – Crédit : Guillaume Legrand
Cette jeune danseuse se refait peut-être le film de son passage sur la piste pour sans cesse s’améliorer – Crédit : Guillaume Legrand
Dernier round pour ce battle : c’est déjà la finale. Cette danseuse donne tout avec ce break, une danse au sol très sportive, plus connue en anglais sous le nom de break dance – Crédit : Guillaume Legrand
